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I'm back. J'écris vraiment pas de manière constante... Je ne viens ici que quand la vie commence à être très dure à affronter, sans écrire mes pensées, sans les éponger un peu avec un vieux torchon. Quand tout me pèse trop, et malgré mon métier d'écriture qui épuise toute envie de rédiger quelque chose ici, je reviens aux sources pour me soulager un temps soit peu... J'avoue que cette fois, je viens parler de mon travail qui commence doucement mais sûrement à me peser sur le moral. Je ne comprends pas comment on peut être si mal traitée. Même quand je travaillais dans la restauration rapide, avec un turnover infernal, j'avais plus de considération de la part de mes supérieurs qu'ici. Pour un salaire de misère, à peine supérieur au SMIC pour des années d'ancienneté, je dois absolument tout gérer avec un collègue. Tout autour de notre magazine : de la communication (bien qu'on ait une CM mais incompétente au possible) aux problèmes de SAV et d'envois, les relances d'abonnements, les fiches produits sur la boutique, les relevés de piges qui consistent concrètement à rentrer toutes les infos perso des gens qui écrivent pour nous dans un tableau (sécu, RIB...). On s'occupe de tout ça en plus du travail éditorial du Magazine. On devrait même savoir gérer et conseiller un graphiste alors que ce n'est aucunement notre travail. Aujourd'hui, il y a eu 2 gouttes qui ont fait débordé le vase et me donne envie de tout lâcher, d'abandonner cette mission suicide et de retrouver un rythme de vie sain, sans le stress constant et ma passion qui bouffe mes moments de calme parce que cette passion est liée à mon travail. Aujourd'hui, j'ai dû, encore, négocier pour avoir un ordinateur de travail. Oui oui, plusieurs mois dans l'entreprise et toujours mon ordinateur perso à emporter au bureau. J'ai envie de hurler, quel manque de respect. Alors que je suis là depuis des années, on me balade en me promettant un ordinateur qui n'arrive jamais. L'autre goutte d'eau, c'est que mon collègue a été démarché. Pour gagner 2 fois plus. Pour avoir de meilleures conditions de travail. Toujours dans son champ de compétences. Alors je ne vais pas mentir, quand il me dit que c'est grâce à notre travail joint sur les magazines qui commencent à attirer l'attention et à constituer un joli CV pour nous, je ne le crois pas. Personne ne m'a contactée, personne ne veut me sauver de ma solitude professionnelle. C'est déjà tellement dur de travailler dans ce milieu masculin, macho et franchement vieux et inconscient de la portée des mots. J'ai du mal à trouver ma place, je ne suis jamais dans les mails, je ne suis jamais regardée dans les yeux lors d'une conversation professionnelle. On me prend pour la copine ou la sœur de mon collègue, qui est lui bien identifié dans le milieu. J'ai tellement envie de jeter l'éponge, de tout laisser derrière moi, de trouver une voie qui me convient et où je n'aurais pas à me sentir comme une moins que rien, un emploi où je ne serais pas constamment exploiter, sans aucun merci ni aucune gratification financière. Ce que j'ai comme bonus, ce sont les cadeaux et les invitations des éditeurs qui ne devraient même pas me revenir de la sorte. Bref, j'en ai ras-le-cul de ne pas pouvoir m'exprimer, qu'on me dise que je suis trop sensible quand je lâche des larmes de nerfs après maintes abus, mainte frustration. J'en ai vraiment marre de tout ça. J'ai toujours cru que c'était ma place mais plus que jamais, je pense que je me suis trompée et qu'en plus ça me détruit totalement. Je ne veux pas sortir en morceaux de cette "opportunité" qui m'a été faite il y a plus d'un an maintenant. Quelle horreur de sentir sa vie glisser entre ses doigts, se faire bouffer par le travail qui m'éteint progressivement mais surtout définitivement. Je n'ai plus la force de me battre pour ce qui m'est dû. J'en ai vraiment marre qu'on considère que mon ordi perso est un ordi utilisable lors des temps de travail, parce que je suis "journaliste" selon mon boss alors qu'il a bien veillé à noter "éditrice" sur mon contrat de travail, balayant au passage tous les avantages que j'aurais pu avoir pour compenser les conditions de travail plus que discutables. Voilà, encore une plainte mais je sens que je ne pourrai pas tenir encore bien longtemps, d'autant plus si mon collègue me laisse toute seule. Je me dis encore que tout serait plus facile si je me faisais renverser par une voiture ou si je basculais par dessus la rambarde de ma fenêtre, au cinquième étage. Tout serait définitivement plus simple. Mais la seule chose qui me retient, c'est mon copain. 3h de mon copain contre 9h d'enfer au bureau, tous les jours... Je ne sais pas si c'est vraiment bénéfique de continuer comme ça... Je veux mourir.
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Me revoilà ici, à écrire que ma vie n'est pas aussi bien que j'aurais voulu qu'elle soit. Je suis actuellement totalement coincée, pétrifiée à l'idée d'écrire un mémoire de 80 pages en moins d'un mois. J'ai peur, parce que j'ai pas envie de gâcher deux années horribles en ne rendant pas le dernier devoir de toute ma vie étudiante. Mais voilà, je dois rendre ce truc pour pouvoir passer de belles vacances avec Alexis. Mais pour être tout à fait honnête, je trouve toute cette situation assez injuste. J'ai l'impression de passer mon temps à me sacrifier, à limiter le temps que je passe sur certains projets pour pouvoir coller à l'emploi du temps d'Alexis. J'avoue que je commence à en avoir marre d'être dans l'indécision constante de mon copain. Je veux avancer dans la vie, savoir si je peux squatter son appartement à New York pendant un mois avant de commencer la vie active, savoir avant août si possible. J'ai envie de me fiancer avec lui, de l'avoir près de moi après un an et demi passé à l'autre bout du monde. Je veux du concret, que les choses avancent. Malheureusement, je me sens coincée dans une routine plus que solitaire, à attendre bien sagement qu'il daigne me contacter, revenir en France ou accepter une de mes propositions. J'en ai marre, marre d'avouer cette faiblesse alors que je pensais être passée au dessus depuis un moment. J'étais persuadée que je ne me souciais plus tant de ses choix pour faire les miens. Je me suis lourdement trompée, je suis totalement à sa botte et ça me rend folle. Je suis enchaînée, j'attends ses décisions comme un toutou bien élevé et ça me gave en fait. Je veux qu'il fasse aussi des sacrifices pour moi. Qu'il réponde à mes appels, qu'il regarde des trucs avec moi, qu'il me donne des réponses concrètes. Pourquoi a-t-il le droit de vivre sa jeunesse comme il l'entend, quand moi je suis embourbée dans la solitude, dans l'inaction, dans un état statique, dans une vie médiocre, dans l'attente constante ? Pourquoi je suis comme ça ? J'ai envie de me flinguer dans ces moments-là, pour pouvoir décider de quelque chose par moi-même, pour une fois. J'ai envie de reprendre le rôle principal de ma vie, en choisissant ma fin. Et ce n'est clairement pas enfermée chez moi pendant 5 jours, attendant des actions d'amis qui n'en ont rien à foutre, que je vais avoir l'impression de vivre, que je vais être satisfaite. Je ne vis pas pour moi. Je vis pour les autres depuis quelques années. Si je m'écoutais, je me laisserais mourir quelque part dans un coin. À quoi bon vivre quand on est seule comme je le suis ? Je me boycotte souvent, comme récemment pour mon anniversaire à annuler tout ce que j'avais prévu au dernier moment. Mais je voulais sûrement tester les autres, comprendre leurs intentions. Je n'ai rien compris du tout et je suis restée encore plus seule qu'avant. Franchement, ce n'est pas passionnant. Ma vie n'a rien de bien passionnant. C'est la réflexion que je me faisais la semaine dernière, en fumant une clope avec mon collègue Thomas à Tours. J'ai accepté ce travail où je ne fais que m'énerver, que me stresser, qu'être excédée parce que ça me permet de ressentir quelque chose, d'avoir enfin des trucs à raconter, d'avoir l'impression de faire quelque chose de ma journée. Évidemment, tout ça est factice.
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Gosh, ça fait genre 1000 ans que j'ai pas écrit sur un blog. En vrai, 2 ans quasiment... Ça fait un peu bizarre mais je pense que j'en ressens le besoin, que j'ai pris sur moi trop longtemps, que j'ai compté sur les autres pour récupérer mes angoisses alors qu'ils ne pouvaient rien faire pour moi, et ne voulaient pas le faire non plus tu me diras... Bref. Il s'en est passé des choses depuis mon dernier article. Je ne l'ai même pas lu quand j'écris ces mots mais ma vie à changer de bout en bout depuis.
Déjà, je constate que ma préoccupation de l'époque, c'était les concours de journalisme. Maintenant, je suis passée outre tout ça, je suis à la fac, en master de journalisme culturel. C'est pas le top, on va pas se mentir, mais au moins je peux continuer mes études et faire semblant d'avoir un bagage universitaire solide. Mais la réalité c'est que je me forme encore et toujours chez AnimeLand, où j'ai maintenant des responsabilités importantes. J'ai été nommée rédactrice en chef d'AnimeLand X-tra, un peu par hasard au début, j'essaye de faire en sorte que personne ne regrette de m'avoir confié cette lourde mission. Je me donne à fond depuis presque un an. J'écris beaucoup, je passe mes journées au travail. J'ai réussi pas mal de projets, écrire un bouquin en collaboration avec d'autres journalistes, j'ai presque fait un numéro entier "toute seule", je survis à ma bipolarité qui me détruit. Je suis en train de monter un projet de refonte pour les deux mags avec l'aide de Cedric et de Bruno, on fait un éphéméride avec Nono, on va bientôt entamer un nouveau bouquin sur les 100 Mangas à lire.... Ça fait beaucoup de taff, surtout que j'écris toujours pour mon blog Bunka Club (enfin j'essaye), pour Le Crible (le média de Lauriane), pour d'autres médias à l'occasion même si ça me fait perdre des amis (cc Elliot), mais aussi toujours pour l'Encyclopédie des Animés (bien que ce soit une giga purge et un gouffre de temps et d'énergie sans fond).
Bon et puis, bah je me sens seule quoi. Alexis est parti en août dernier faire ses études à New York donc je me retrouve toute seule après presque un an de vie commune. Franchement, c'est dur. Je lui en ai tellement voulu de me laisser seule alors que je vais genre pas bien du tout. Je me sens seule, j'ai envie d'avoir du contact avec d'autres gens mais mon angoisse m'empêche de le faire. J'ai peur d'aller au ciné, j'ai pas la force d'aller boire un Verre trop loin avec des amis... Je m'enferme et je souffre juste en silence. Alors quand des petits cons me disent que je suis pas enthousiaste ou que je force alors que bon, bah j'ai failli me jeter par la fenêtre, bah j'ai envie de tout casser. Je crois que mon caractère a un peu changé depuis quelques mois. Je passe par les phases de deuil de ma vie en fait. Déjà le déni, l'envie de mourir, maintenant je suis passée à la colère intense et impitoyable envers toute personne environnante. Y'a qu'une personne qui m'apaise un peu et c'est Nono. Pas de chance, il semblerait qu'il soit tombé amoureux de moi, ce qui a foutu un sacré bordel dans ma vie, dans ma tête, dans mon corps, et disons-le, dans ma culotte. Ah oui, parce qu'Alexis est vraisemblablement asexuel et que, malgré tout ce que je pensais, bah ça m'a fait grave mal. Déjà parce que je me suis sentie rejetée, parce que j'ai eu des pulsions que je ne pouvais pas assouvir. Et aussi parce que je me suis rendue compte de la place que le sexe avait pris dans ma vie et dans ma tête. J'ai besoin de ça pour me sentir vivante et Alexis m'en dépouille totalement. Je me suis dit que c'était vraiment la goutte. Partir à l'autre bout du monde et me priver de sexualité, c'était quand même beaucoup de sacrifices de ma part. J'ai un peu envie de pleurer quand je raconte tout ça, je me rends compte à quel point je suis faible, à quel point je fais pitié, à quel point je me dégoûte. Je coule. Clairement. Je ne prends même plus de médicaments, je n'ai pas vu ma psy depuis genre 2-3 mois. Je me déteste, de pas être claire dans ma tête, de chercher de l'affection là où c'est le plus simple quitte à blesser tout le monde. Je déteste être à la merci de tout le monde, de pas pouvoir vivre sans contraintes nulles. Je veux juste mettre fin à tout ça et je sais pas comment faire, je sais juste que j'ai le pouvoir de vie et de mort sur ma personne, c'est déjà une force dans tout cet océan de faiblesse et de déception. Je me sens terriblement seule, sur mon îlot de désespoir. Je sais même plus quoi écrire ici, je n'ai juste pas la force. Je me bats comme une mouche dans une toile mais je suis seule et condamnée à genre mettre fin à tout ça quand j'aurai enfin trouvé le courage de dire adieu à... que citer comme truc qui me ferait rester... les fous rires occasionnels, les sushis, la branlette, les vidéos de Squeezie, le vin blanc, le shit... Pas grand chose finalement. Sûrement, évidemment même, Alexis mais j'ai tellement honte d'échouer à ce point ma relation avec lui. Je me sens frustrée, je suis triste de le rendre triste.
J'ai perdu mon Daddy aussi. Ça, ça m'a vraiment achevée. Je pense que je ne m'en suis pas remise depuis le 15 juillet 2022. Je vais vraiment me mettre à pleurer en cours si j'aborde ces sujets omg. Putain mais j'en peux plus de souffrir, j'en peux plus de me sentir seule. J'ai envie de baiser, de câliner, de boire, de clamser, de revivre, de me bousiller à l'alcool et aux drogues juste pour avoir l'impression de vivre, de faire quelque chose de mon quotidien, aussi nocive l'occupation soit-elle.
En fait, je suis en train d'asphyxier. J'hurle mais personne ne m'entend, personne ne me tire de là. Je m'étouffe seule. Je suis juste misérablement seule. Personne ne me tend la main. Alors oui, on pense à moi mais on ne me voit pas mourir à petit feu, par manque d'oxygène. J'ai envie de crier "AIDEZ-MOI, AIDEZ-MOI JE MEURS LÀ". Mais tout le monde a d'autres choses à faire, s'asphyxie déjà ou respire à pleins poumons la vie (et ils ont raison). Là, j'arrive plus à respirer. Là je veux qu'on vienne m'aider de toute urgence. J'ai envie de vivre un peu malgré tout mais personne n'a l'air de me mettre au dessus de tout.
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Je ne sais pas vraiment ce que je vais devenir. J'ai tenté cette année encore les écoles de journalisme. J'en ai proposé 7 sur 14 reconnues par la profession. J'ai eu pour l'instant 3 réponses négatives, les 3 venant d'écoles parisiennes que je rêvais d'avoir. Je me demande vraiment ce qui n'a pas marché... J'ai pas fait beaucoup de stage dans le journalisme, j'ai uniquement été pigiste pour un petit magazine spécialisé, que personne ne connaît. Je n'ai pas eu de corrections de journalistes en exercice, qui ont réussi haut la main les écoles, je n'ai pas eu tout ça. J'écris juste sur le Japon parce que j'aime écrire, j'aime lire, et j'aime surtout le Japon. Malheureusement, ça ne suffit pas à avoir une école, à attiser la curiosité des écoles, des journalistes qui y travaillent. J'ai essayé de montrer ma spécificité et ça ne leur a pas plu. Ils préfèrent des gens lisses, des gens qui ont déjà fait des dizaines de stages en journalisme, des gens qui pourraient tuer pour une place. Je pense pas que ce soit mon caractère, mon envie. J'ai envie d'écrire un livre, j'ai envie de faire du podcast, du montage audio et vidéo, de devenir quelqu'un qui créé, qui s'intéresse au monde et donne des clés de compréhension à d'autres personnes qui n'ont pas le temps de s'informer de toute part. Je vais continuer de chercher un master et mettre fin à cette parenthèse de déception, de dépenses, d'espoir beaucoup trop haut. Je vais juste retourner sur les bancs de l'école, à l'université, là où je me sentais bien, là où j'avais l'impression d'être quelqu'un de pas trop débile. Je me sens mais tellement mal et pas à la hauteur à côté de mes amis qui font de grandes choses, artistiquement ou pas. Alexis croule sous le travail mais au moins, il apprend, il se fait des sous, il nourrit son CV. Faut que je continue, que je devienne quelqu'un. Que je me battes pour devenir une personne inspirante, une personne gentille et une personne intelligente. Je veux gagner ma vie, je veux vivre un jour de ma passion, je veux quitter ma maison. Je veux grandir, arrêter d'être la retardée qui a jamais vécue en dehors de son cocon familial...
Mais par contre, la dépression me tabasse. Depuis que j'ai été diagnostiquée, j'avais l'impression que les antidépresseurs faisaient effet. Mais en fait, pas du tout. J'ai encore envie de mourir, de me bourrer de médicaments, de m'étouffer avec la fumée du charbon ou le pot d'échappement d'une voiture. J'ai clairement envie de mettre fin à tout ça tellement c'est dur, tellement je vaux clairement pas le coup en fait. Je vivote depuis un an, sans apporter quoi que ce soit au monde. Je ne suis qu'un putain de déchet.
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Hello. Le moral est un peu dans les chaussettes aujourd'hui et j'ai ressenti le besoin d'écrire un peu sur ce blog laissé à l'abandon. J'ai vécu un été formidable avec les personnes que j'aime le plus et surtout avec ma personne préférée. Nous sommes plus très loin de la rentrée pour tout le monde et moi, je reste là, à l'arrêt. Je contemple la vie de loin sans vraiment avoir d'idées pour ma propre vie, je suis fatiguée. j'ai l'impression d'être sur pause et d'attendre un signe pour me remettre en selle. Mais bon voilà, je suis seule avec mes idées limitées, à vivre chaque journée de la même manière. J'essaye de prendre un rythme, de me lever tôt, de jouer à Animal Crossing avec un café puis me mettre à mon article ou à la lecture de trucs sur internet avant de voir mes amis dans l'après-midi ou dans la soirée, ce n'est pas hyper épanouissant, je vais pas mentir. Je cherche encore ce que je pourrais écrire, faire, regarder pour grandir et me dire à la fin d'une journée que j'ai bien travaillé mais c'est un peu compliqué. Je suis heureuse pour mon entourage et j'en oublie ma situation. Ça fait une semaine que j'ai les mêmes trucs à dire, sans changement grandiloquent à apporter à mon discours. J'écris ce foutu article sur Ronja depuis une semaine et j'arrive pas à y mettre un terme. Pas qu'il soit difficile à faire mais plutôt que si je le finis, je retourne dans une vie sans réel objectif. J'ai hâte de retrouver ma joie de vivre que mes amis me reprochent presque d'avoir perdu sans que je réalise vraiment la différence. Je vais essayer de me donner des objectifs, de trouver ma voie, de gagner des sous pour réaliser des petits rêves annexes et pourquoi pas retrouver l'envie de créer, d'apprendre et de vivre.
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